De Paestum, nous nous dirigeons vers le nord en direction du golfe de Salerne et de la magnifique côte amalfitaine.

Aujourd'hui Mirò et ses amis apprennent à jouer aux quilles, chacun à sa manière.

Oriana parle en termes non équivoques de la condition des femmes musulmanes dans les pays islamiques. En 1967, elle se rend à Saïgon, au Vietnam, un pays déchiré par la guerre.

Dafne est très sociable et elle aime discuter avec les gardes forestiers qui les accompagnent pour un bout de chemin, elle et son père.

Nora ouvre son cœur à Ugo ; elle est peut-être maintenant prête à le croire à nouveau, mais ne veut plus être déçue par lui. Buna est sur le point de réaliser son rêve, mais elle est très nerveuse.

Trois mois ont passé et Franco et Mimmo n'ont pas encore réussi à trouver toutes les paroles de la nouvelle chanson.

Camilla découvre comment faire passer un message à Luca. Torre obtient des informations importantes du directeur de Money Service.

Grand-père Libero et Guido sont pris d’insomnie et ils se retrouvent par hasard tous les deux dans la cuisine au cœur de la nuit.

Imma se rend chez l'esthéticienne et parvient à obtenir d'elle les informations utiles à l'enquête.

Le voyage à la découverte des merveilles de l'Italie reprend. Dans cet épisode, nous sommes en Campanie, la région baignée par la mer Tyrrhénienne et par laquelle les Grecs sont arrivés. A Ischia, ils fondèrent leur première colonie.

Marika nous fait découvrir les endroits "secrets" de Venise et nous raconte des anecdotes super intéressantes sur la vie de Marco Polo.

Oriana sait ce qu'elle veut raconter dans ses articles: la condition des femmes dans le monde. Et ainsi, en 1961, elle s'envole pour le Pakistan où elle rencontre une jeune fille de quatorze ans forcée d'épouser un homme qu'elle n'a jamais vu.

Dafne veut que son père arrête de fumer et essaie de l'aider à sa manière. Celui-ci sourit à nouveau pour la première fois depuis longtemps.

Bruna fait sa déclaration à Carmine en haut de sa grue. À l'atelier, Nora fait son mea culpa et prend enfin les justes distances par rapport à la liaison entre Ugo et Rebecca.

En se réveillant après une gueule de bois, Franco Migliacci contemple un tableau de Chagall dans lequel des petits hommes virevoltent dans le ciel bleu. Et ainsi, il écrit les lignes de la chanson qui a rendu Modugno célèbre dans le monde entier: Volare